Organes: Appareil urinaire - autres - Spécialités: Thérapies Ciblées,Chimiothérapie
UNICANCER MAJ Il y a 4 ans

GETUG-AFU 19 : Essai de phase 2 randomisé évaluant l’efficacité d’une chimiothérapie de type MVAC-I (méthotrexate, vinblastine, doxorubicine et cisplatine intensifié) associée ou non à du panitumumab, en traitement de 1ère ligne chez des patients ayant un carcinome urothélial avancé et ne portant pas de mutation H-Ras ou K-Ras. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité d’une chimiothérapie de type MVAC-I (méthotrexate, vinblastine, doxorubicine et cisplatine intensifié) associée ou non à du panitumumab, en traitement de 1ère ligne chez des patients ayant un carcinome urothélial avancé et ne portant pas de mutation H-Ras ou K-Ras. Les patients ne présentant pas de mutation des gènes H-Ras et K-Ras seront répartis de façon aléatoire en deux groupes de traitement. Les patients du premier groupe recevront une chimiothérapie de type MVAC-I comprenant une perfusion de méthotrexate le premier jour et une perfusion de vinblastine, de doxorubicine et de cisplatine le deuxième jour, associée le même jour à une perfusion de panitumumab. Ces traitements seront répétés toutes les deux semaines, jusqu’à six cures. Le traitement par panitumumab pourra être poursuivi pendant deux ans supplémentaires, en absence de rechute. Les patients du deuxième groupe recevront le même traitement que dans le premier groupe, sans perfusion de panitumumab. Dans le cadre de cet essai, les patients pourront participer à deux études associées nécessitant l’utilisation d’un échantillon de leur tumeur prélevée lors de la biopsie de diagnostic (pas de prélèvement supplémentaire), et une échantillon de sang prélevé lors d’une prise de sang dans le cadre du suivi habituel du patient. Après l’arrêt du traitement, les patients seront suivis tous les trois mois.

Essai clos aux inclusions
Bayer MAJ Il y a 4 ans

Étude FORT-1 : étude de phase 2-3 randomisée comparant l’efficacité et la sécurité d’emploi du rogaratinib avec celles d’une chimiothérapie à base de docétaxel, paclitaxel ou vinflunine chez des patients ayant un carcinome urothélial localement avancé ou métastatique positif pour le récepteur FGFR et traité précédemment par une chimiothérapie contenant du platine. [essai clos aux inclusions] Le carcinome urothélial est le type de cancer de la vessie le plus fréquent, représentant plus de 90 % de l’ensemble des cas de cancer de la vessie. Il peut survenir dans n’importe quelle partie de l’appareil urinaire (le bassinet du rein, l’uretère, la vessie ou l’urètre). Ce cancer peut être non invasif, affectant uniquement le revêtement de la vessie, ou invasif s’il envahit d’autres couches de la paroi de la vessie. Lors du diagnostic, 40 à 50 % des patients présentent une tumeur invasive. Le traitement du carcinome urothélial avancé ou métastatique consiste généralement en une chimiothérapie en première ligne de traitement suivie d’une immunothérapie en deuxième ligne de traitement. L’objectif de cette étude est de comparer l’efficacité et la sécurité d’emploi du rogaratinib avec celles d’une chimiothérapie à base de docétaxel, paclitaxel ou vinflunine chez des patients ayant un carcinome urothélial localement avancé ou métastatique positif pour le récepteur FGFR et traité précédemment par une chimiothérapie contenant du platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en deux groupes : Les patients du premier groupe recevront du rogaratinib deux fois par jour en continu en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du deuxième groupe recevront une chimiothérapie à base de docétaxel ou de paclitaxel ou de vinflunine le premier jour de chaque cure de 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant 45 mois à partir de la répartition aléatoire.

Essai clos aux inclusions
OncoGenex Technologies MAJ Il y a 4 ans
Essai clos aux inclusions